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Le bureau d’études "Panorama" a élaboré le
On a ajouté le support des liens sur les objets cartographiques vers les cartes du sous-répertoire de la carte principale. Cela permet d’automatiser la génération de rapports contenant des encarts d’autres cartes. Pour ce faire, toutes les cartes doivent être placées dans un dossier virtuel dont l’accès est autorisé pour le client.
On a ajouté la possibilité de connecter dans l’Administrateur GIS le fichier virtuel commun pour les cartes vectorielles, les rasters et les matrices. On a précisé des messages de diagnostic à imprimer. On a augmenté la sûreté des connexions multicanaux avec les clients du Serveur GIS. On a mis à jour les bibliothèques du noyau GIS version13.0.5, module « Téléchargement de la banque de données » version 4.5.
GIS Serverassure l’accès distanciel aux cartes vectorielles, données de cartes numériques et de télédétection de la Terre, matrices, documents, bases de données spatiales et pyramides de tuiles aux formats GPKG, BIR, Mbtiles. GIS Serverassure le travail avec des bases de données spatiales contrôlées par les SGBD PostgreSQL et Oracle qui supportent l’accès aux données spatiales en conformité avec la norme OGC 06-103r4: « OpenGIS Implementation Standard for Geographic information – Simple feature access – Part 1: Common architecture ».
La mise à jour du Serveur GIS version 8 par la version 9 est gratuite avant le 1 juin 2020 pour les utilisateurs qui ont acheté GIS Serverversion 8 après le 1 décembre 2018, ainsi que pour tous dont le contrat d’entretien pour la version 8 est valide. Vous pouvez télécharger la nouvelle version du programme dans la section
Le bureau d’études "Panorama" a élaboré le programme GIS "Panorama" version 13. La nouvelle version augmente le degré d’automatisation de diverses tâches de traitement, d’affichage et d’analyse de données spatiales à utiliser dans des technologies de contrôle à des fins diverses.
Pour diviser l’ensemble des signes ponctuels en groupes et les afficher, on a implémenté un algorithme de clustering automatique. On a ajouté dans "l’Éditeur de classificateur" des outils de description de clusters. La description comprend: les types d’objets liés à chaque type de cluster, les tailles des cellules verticales et horizontales, le code sémantique pour indiquer le nombre actuel d’objets dans le cluster, le type de symbole conventionnel du cluster, le pourcentage maximal d’augmentation de la taille du signe du cluster et le nombre maximal d’objets correspondant à la taille maximale du signe du cluster. Le symbole conventionnel du cluster peut être programmable, ce qui permet de différencier le type de cluster et de modifier les propriétés du signe en fonction du nombre d’objets dans le cluster (légende numérique, taille du signe, luminosité). Lors du regroupement dans une cellule de cluster virtuel de plus d’un objet du type donné, leurs signes conventionnels seront automatiquement remplacés par un symbole conventionnel du cluster, dont le centre aura une coordonnée moyenne des objets qui y sont inclus. Lorsque l’échelle est modifiée, la configuration du cluster est automatiquement modifiée. Les cartes avec des clusters configurés dans le classificateur RSC sont automatiquement supportées dans toutes les applications de bureau et Web, ainsi que dans les applications élaborées dans GIS ToolKit et GIS Constructeur.
On a modifié l’algorithme d’inscription de légendes d’objets en fonction de leurs caractéristiques sémantiques. Lors de la mise à jour de la sémantique d’un objet, la sémantique correspondante de toutes les légendes créées pour un objet dans l’Éditeur de carte ou dans la tâche Création de légendes par sémantique est automatiquement mise à jour. On a amélioré la tâche d’inscription de légendes par sémantique d’objets compte tenu du traitement des multipolygones sélectionnés sur la carte. Une légende est générée pour chaque contour appartenant au multipolygone et est inscrite conformément aux paramètres de dialogue.
On a élaboré une nouvelle tâche "Création d’une matrice de profondeur" visant à automatiser la création de matrices de profondeur selon l’ensemble de cartes marines conformémement à la norme IHO S52. La création d’une matrice de profondeur est effectuée en tenant compte du recouvrement éventuel des cartes marines de différents détails (échelle différente) pour obtenir la description la plus précise. On tient en compte la superposition des types d’objets suivants des cartes marines: isobathe, marque de profondeur, zone terrestre, île, navire coulé, danger, rocher sous-marin asséchant et autres. Dans les éléments matriciels correspondant à la superficie, les valeurs de profondeur sont absentes. Les matrices de profondeur sont affichées pour plus de clarté à l’aide d’une palette spéciale qui correspond à 32 intervalles de profondeur inégaux. Les 16 premiers intervalles sont conçus pour afficher des profondeurs de 20 mètres (zone côtière) et ont des gradations de 0,5, 1, 2 mètres. Les autres intervalles sont conçus pour afficher des zones de profondeur moyenne de 500 mètres (gradations de 5, 10, 50, 100 mètres) et zones d’eau profonde de 12 000 mètres (gradations de 500 mètres et plus). Pour automatiser la formation d’une zone de travail à partir d’un ensemble de cartes marines, on a ajouté le support d’importation d’une liste de cartes marines au format S57 (000) du fichier textuel DIR, similaire à la liste SXF.
On a élaboré une nouvelle tâche "Importer une base de données spatiales" pour automatiser l’importation et l’affichage de grands volumes de données spatiales à partir des bases de données. La tâche permet d’effectuer une connexion directe à une base de données spatiales, de définir les paramètres de la carte créée (code EPSG, classificateur et symboles conventionnels), d’indiquer les tableaux nécessaires et d’effectuer le mappage des objets spatiaux sur la carte en fonction des informations de ces tableaux. Elle supporte l’importation à partir des bases de données administrées par les SGBD PostgreSQL et Oracle assurant l’accès aux données spatiales en conformité avec la norme OGC 06-103r4: "OpenGIS Implementation Standard for Geographic information – Simple feature access – Part 1: Common architecture".
On a amélioré la tâche "Éditeur de carte". Dans le mode de création d’un objet linéaire, on a ajouté une nouvelle option "Attacher à un objet existant" assurant la jonction du contour créé au contour d’un objet linéaire déjà existant sur la carte (activée en appuyant sur la touche "U"). Le type (code) d’un objet existant peut ne pas correspondre à celui d’un objet créé. Après l’attachement, le type d’un objet existant ainsi que la direction de la numérisation et l’ensemble de caractéristiques sémantiques ne sont pas modifiés. La section numérisée est ajoutée à l’extrémité la plus proche de l’objet sélectionné. Si les objets créés ou existants sont constitués des composants (sous-objets), le ou les contours de l’objet créé seront ajoutés à l’objet existant en tant que sous-objet(s). On a amélioré le mode de l’éditeur de carte "Couper et attacher - Couper d’un objet de zone par un objet". Le support de multilopygones a été ajouté à la coupe d’objet de zone par un objet. En coupant un objet de zone ordinaire on obtient des objets de zone ordinaires. En coupant un multipolygone on obtient un multipolygon.
Dans la tâche "Navigateur 3D", on a complété le mode de charge de modèles à partir du format Collada dans la base de données de tuiles à trois dimensions DB3D. Dans les modes de paramètres et de reproduction des scénarios de mouvement d’objets dynamiques, on a ajouté l’option de changement de vitesse (accélération ou décélération) de reproduction du scénario. Cela permet d’obtenir rapidement les résultats de réalisation d’un scénario ou d’examiner plus en détail des scènes intéressées.
Dans la tâche "Calculs sur la carte", on a amélioré l’algorithme de construction de contours vides non remplis de certains objets. Le temps de construction est réduit de 10 fois, la précision de la construction des contours vides est augmentée.
On a amélioré la boîte de dialogue "Sélection d’un objet". Afin d’augmenter le contenu informationnel du schéma d’objet dans le favori "Métrique", on a changé la couleur des contours: pour les objets ordinaires, le premier contour (principal) est maintenant affiché en bleu, les contours supplémentaires (sous-objets) en rose. Dans les multipolygones, tous les contours externes sont affichés en bleu, le reste en rose. Le nouveau schéma de couleurs permet de vérifier visuellement l’exactitude de l’occurrence des sous-objets. Dans le favori "Sémantique", on a ajouté l’option de désactivation du tri du tableau des caractéristiques de l’objet. Les données seront affichées dans l’ordre de leur ajout à l’objet de carte. L’activation et la désactivation du tri peuvent être effectuées via le menu contextuel "Tri" du favori "Sémantique". Cela permet d’afficher correctement les caractéristiques groupées répétées, ainsi que de rechercher dans le tableau les valeurs des caractéristiques par code ou nom de la caractéristique.
On a amélioré le mode "Rideau d’image". En utilisant ce mode, l’analyse de diverses images opaques qui se chevauchent peut être effectuée en décalant leurs périmètres. On a ajouté l’option d’application du "rideau" pour les matrices et les géoportails. Le mode est lancé via le menu principal Type/Rideau d’image/matrice et Type/Rideau d’image/géoportail.
On a amélioré la tâche de connexion de géoportails. Comme les données initiales, on peut utiliser les couches vectorielles obtenues par le protocole OGC WFS. GIS peut se connecter à un service distant et télécharger des informations métriques, sémantiques et des métadonnées sur le territoire sélectionné. Le programme prend en charge la surveillance des modifications et le suivi des objets en mouvement dans un mode proche du temps réel. Si le géoportail ou le service supporte le protocole de transaction OGC WFS-T, donc la tâche permet non seulement de recevoir, d’afficher des objets et de surveiller leur mise à jour, mais aussi de les modifier, de transférer les modifications sur le serveur pour afficher ces modifications sur d’autres clients.
On a amélioré la tâche "Coordination des contours horizantaux avec des objets hydrographiques linéaires" du groupe de tâches "Contrôle et correction des données". La tâche automatise la coordination des contours horizantaux sur la carte avec les contours de l’hydrographie, ce qui réduit considérablement la complexité du travail. On a ajouté le marquage des points d’intersection des contours horizantaux et des rivières coordonnés pour exclure ces sections d’un éventuel retraitement. On a ajouté le contrôle automatique de l’arc horizontal déformé par rapport à la rivière pour retrouver sa position initiale en cas de détérioration de l’état de l’intersection. Le contrôle de la déformation horizontale dans la région du thalweg a été mis en place pour avoir la possibilité de son annulation en cas de double intersection horizontale avec la rivière. On a ajouté des essais supplémentaires pour modifier l’horizontale dans la zone du thalweg et son marquage pour exclure ces zones d’un éventuel retraitement.
On a amélioré le programme de correction d’une métrique d’objets: on a accéléré le traitement de multiplolygones. Par exemple, le temps de correction d’environ 50 000 erreurs topologiques pour un ensemble de cartes de test contenant plus de 3 millions d’objets a été réduit de 5 heures à 30 minutes. Le programme de correction d’une métrique d’objets supprime les points doubles et les valeurs aberrantes, corrige tous les types d’auto-intersections, superpositions, intersections de contours et erreurs d’occurrence de sous-objets, ce qui garantit le découpage ultérieur des données sur des régions spécifiées et l’attachement d’objets lors de la mise à jour et de la combinaison de données.
On a amélioré le bloc de tâches géodésiques et cadastrales. On a élaboré un nouveau mode "Base de travaux cadastraux" destiné à traiter les informations sur les contrats de mise en œuvre des travaux cadastraux. On permet d’inscrire et modifier des données d’après les groupes d’informations: contrat, ingénieur cadastral, client et instruments de mesure. Dans les boîtes de dialogue "Plan d’arpentage", "Plan technique", "Carte (plan) de l’objet urbain", on a intégré des éléments pour la sélection rapide des informations inscrites précédemment dans la base de données cadastrale et l’insertion des valeurs sélectionnées dans les éléments de dialogue.
On a amélioré la boîte de dialogue "Plan technique" dans lequel le processus d’inscription et de remplissage des informations sur le bâtiment et les locaux et les places de stationnement qui s’y trouvent, y compris pour un immeuble à appartements, est automatisé. Les limites du bâtiment sont cartographiées dans le "Dessin d’immeuble" et celles des locaux (places de stationnement) sont cartographiées sur les plans des étages. Dans le même temps, un plan indépendant est créé pour chaque étage, contenant plusieurs locaux (places de stationnement). On a amélioré la boîte de dialogue "Lecture du plan cadastral du territoire et mise à jour de la carte". On a ajouté le traitement des données cadastrales selon le schéma XML extract_base_params_land_v01 – extrait du Registre foncier d’État sur les principales caractéristiques et droits immatriculés sur le bien (terrain) sous forme électronique. Lors de la génération d’un rapport texte et d’un document XML "Plan d’arpentage", on a ajouté une analyse du type de terrain lors du remplissage de la section "Informations sur les mesures et les calculs". Dans la boîte de dialogue "Imprimer le rapport dans Excel par métrique d’objet", on a augmenté le nombre de lignes par feuille de 1 000 000. On a réalisé l’option d’inscription de données sur quelques objets sélectionnés dans un seul fichier Excel. On a développé de nouveaux modèles de rapport de synthèse: forestry.dot - registre foncier forestier, subjects.dot - registre des intersections des terres du fonds forestier avec les frontières du sujet de la Fédération de Russie, settlements.dot - registre des intersections des terres du fonds forestier avec les limites des zones municipales, zones.dot - registre des intersections des terres du fonds forestier avec les limites des zones territoriales, plots.dot - registre des intersections des terres du fonds forestier avec les limites des terres d’autres catégories.
On a ajouté l’option de désactivation de la mise en cache sur le disque du client de données raster ouvertes sur le
On a mis à jour les classificateurs et bibliothèques de symboles conventionnels pour différents types de cartes spéciales: plans d’arpentage, plans techniques, actes d’inspection, plans cadastraux publics et autres, plans cadastraux pour les territoires, passeports cadastraux des objets de construction, extraits cadastraux sur les parcelles de terrain, extraits cadastraux des objets de construction, schémas généraux de développement du réseau ferroviaire au niveau régional, fédéral et international, dans le domaine de la protection civile, de la prévention et de la réponse aux situations d’urgence naturelles et causées par l’homme et autres.
La mise à jour du GIS "Panorama" version 12 par la version 13 est gratuite jusqu’au 1 juin 2020 pour les utilisateurs qui ont acheté le programme GIS "Panorama" version 12 après le 1 décembre 2018, ainsi que pour ceux dont le contrat d’entretien pour la version 12 est valide. Vous pouvez télécharger la nouvelle version du programme dans la section Télécharger.
Le bureau d’études "Panorama" a élaboré le
On a amélioré les outils du développement d’applications Web GIS WebToolKit SE, qui élargissent les capacités du GIS WebServer SE et peuvent être intégrés aux autres systèmes d’information. Les services Web fournissent un accès aux données (images, cartes vectorielles et informations spatiales) selon les protocoles généralement acceptés OGC et les normes ISO. Le service GIS WebService SE (OGC WMS/WMTS) fournit des informations spatiales sous forme d’images graphiques. En tant que modèle numérique de relief, on utilise de divers types de données d’altitude: matrices (en SRTM, GeoTIFF, IMG, MTW), modèles TIN, nuage de points et autres. Sur demande, les données les plus précises sont automatiquement sélectionnées pour une zone donnée avec une résolution spécifiée. Le protocole WCS est utilisé pour transmettre des données de modèle numérique de relief au Web. Les données de terrain sont présentées sous forme de tuiles et sont mises en cache sur le client.
La Banque de données de cartes numériques et de télédétection de la Terre peut être la source de données spatiales. Elle assure la collecte, le stockage, la recherche et la publication de données spatiales dans des formats d’échange, l’affichage de l’état de la banque de données sous forme de diagrammes cartographiques, la génération automatisée et la mise à jour des géo-couches.
Le GIS WebServer SE est appliqué à la construction de systèmes d’entreprise fermés assurant la protection des données classées ou portant sur le secret commercial. Le service GIS WebServer SE est certifié conformément au 2ième niveau d’absence de capacités non déclarées. La nouvelle version du programme élargit des capacités de l’application en matière de résolution de problèmes d’analyse, de gestion et de planification à long terme pour le développement des territoires. Le GIS WebServer SE est réalisé à l’aide des outils de GIS WebToolKit SE qui peut être utilisé avec des outils de conception à la base de JavaScript.
Vous pouvez télécharger la nouvelle version du programme dans la section
Du 28 au 30 octobre, dans la capitale de la Corée du Sud, s’est tenue la
C’était notre chef de projets Alexandr Kirichenko qui a représenté le bureau d’études "Panorama" pendant la conférence. Dans le premier rapport "Utilisation des produits logiciels du bureau d’études "Panorama" à la création d’une "Ville intelligente", on a démontré le géoportail "Région" – ensemble composé de : GIS "Panorama",
Le deuxième rapport a été consacré au sujet "Innovations en production cartographique: décryptage automatique, généralisation, carte multi-échelle", dont l’accent a été mis sur le développement des technologies pour la création automatisée de cartes à petite échelle basées sur des cartes à plus grande échelle. Même à présent les spécialistes du bureau d’études "Panorama" ont atteint le résultat prévoyant que la conversion de 36 feuilles d’une carte à l’échelle 1: 100 000 en 9 feuilles d’une carte à l’échelle 1: 200 000 sur un ordinateur avec une productivité moyenne prenne 15 minutes par feuille, c’est-à-dire moins de deux heures.
Au total, 32 rapports ont été présentés dans huit sections plénières de la conférence, au cours desquelles les participants ont parlé des réalisations de leurs entreprises au cours de l’année écoulée, ce qui a fait de la conférence "De l’image à la réalité numérique" une excellente plate-forme pour partager des expériences et faire connaissance avec les dernières tendances de l’industrie.
Les spécialistes du bureau d’études "Panorama" ont préparé le cours vidéo
Grâce au matériel d’étude, les utilisateurs font connaissance avec les particularités du travail de la tâche "Exportation dans le format Shape" qui comprend : paramètres des champs d’attribut et des données traitées, format des coordonnées, codage et autres modes. Les attributs d’objets sont enregistrés sur le fichier DBF et les coordonnées d’objets sont enregistrées sur le système géodésique WGS-84 en degrés. S’il s’agit de l’exportation d’un plan à grande échelle avec des paramètres de projection inconnus, les coordonnées sont enregistrées en mètres sur le système local. On a prévu la possibilité de sauvegarder les paramètres personnalisés pour rendre le travail plus commode.
Les cours vidéo précédemment publiés dans cette série:
Vous pouvez prendre connaissance du matériel d’étude en anglais dans la section